Tableau "Mère et enfant" (1905), encadré

Tableau "Mère et enfant" (1905), encadré
Brève info
ars mundi Édition exclusive | limitée, 980 exemplaires | numérotés | certificat | reproduction, impression giclée sur toile | sur châssis | encadrée | taille 77 x 63 cm (h/w)
Description détaillée
Tableau "Mère et enfant" (1905), encadré
Découpage du tableau de Klimt "Les trois âges de la femme", dans lequel il met l'accent sur la maternité.
Original : Huile sur toile, Galleria Nazionale d'Arte Moderna.
Édition transférée directement sur la toile de l'artiste par le procédé Fine Art Giclée et tendue sur châssis. Édition limitée à 980 exemplaires, numérotés, avec certificat. Encadré dans un cadre en bois massif blanc-doré fait à la main. Dimensions : 77 x 63 cm (h/l). Édition exclusive ars mundi.
Producteur : ars mundi Edition Max Büchner GmbH, Bödekerstraße 13, 30161 Hanovre, Allemagne E-mail : info@arsmundi.de
Evaluations client
Variante de cadre: encadré
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Variante de cadre: encadré
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A propos Gustav Klimt
1862-1918, Peintre autrichien, célèbre figure de l’Art nouveau viennois
Alors que Gustav Klimt (1862-1918) était depuis longtemps un artiste de renommée, que ses peintures murales avaient déjà fortement imprégné l’Art nouveau de la Ringstrasse de Vienne et qu’il était l’un des membres fondateurs de la Sécession viennoise, c’est à ce moment-là même que son "style doré" se développa. Inspiré par des mosaïques byzantines, il inséra des surfaces colorées ornementales sur un lit d’or, telles des pierres précieuses serties. Dans ses projets picturaux, Klimt décrit le chemin de la vie de l’individu qui, influencé négativement par ses pulsions, trouve son soulagement dans le baiser. Les représentations de corps sont empreintes d’un érotisme subtil, bien que leurs formes ne se décomposent en pièces de couleurs géométriques et ornementales. Il n’applique pas seulement ce principe stylistique à ses représentations de couple, mais également aux portraits des riches dames et aux représentations de paysages. Ce style en aplats est aujourd’hui la quintessence même de l’art intensément coloré de Klimt, qui ne caractérisera pourtant son œuvre qu’à partir de 1905.
Klimt n’était pas seulement doué pour l’or et l’opulence, il était aussi un dessinateur de génie. Il produisit tout au long de sa vie de nombreux dessins, faisant souvent office d’essais préalables pour de plus larges pièces.
Fils d’orfèvre, il apprit cet artisanat à l’école des arts décoratifs de Vienne. Encore à la recherche de son expression propre, les débuts de son œuvre sont marqués par l’historicisme de Hans Makart, le prince des artistes de la monarchie du Danube à la fin du XIXème siècle. Formant un collectif d’artistes avec son frère Ernst et Franz Matsch, les jeunes peintres reçurent de nombreuses commandes pour la décoration des nouveaux bâtiments de la Ringstrasse de Vienne. Les escaliers du théâtre impérial, le Burgtheater, ou le musée de l’Histoire de l’art témoignent du style historique de cet atelier collectif.
Comme tant de jeunes artistes ouverts d’esprit de la Fin de Siècle, Gustav Klimt se détournera de l’académisme à la fin des années 1890. En 1897, il fonde avec d’autres artistes la "Sécession viennoise" qu’il présidera jusqu’à sa démission en 1905. Le palais de la Sécession, lieu d’exposition propre du mouvement, est encore aujourd’hui le temple du nouvel art nouveau.
Édition d’un tableau ou d’une sculpture à l’initiative d’ars mundi et disponibles uniquement chez ars mundi ou chez les partenaires commerciaux agréés d’ars mundi.
La méthode dite en "giclée" est un procédé d’impression digitale. Il s’agit d’une impression de haute définition et en grand format sur une imprimante à jet, de fines gouttelettes d’encres spéciales de couleurs différentes et à partir de colorant ou de pigment (généralement entre 6 et 12). Les couleurs sont résistantes à la lumière, c’est-à-dire aux UV qui pourraient dégrader leur pigmentation. Elles présentent une grande richesse de nuances, de contrastes ainsi qu’un haut degré de saturation.
Le procédé en giclée est approprié pour les toiles d’artistes, le papier pour aquarelle et le papier fait main, ainsi que pour la soie.
L’impressionnisme, courant artistique de la peinture française apparu vers 1870, tient son nom du tableau de Claude Monet ‘Impression, Soleil levant’. Après le rejet initial que cette peinture reçut, elle fit une avancée triomphante.
Des peintres tels que Claude Monet, Edgar Degas, Édouard Manet et Auguste Renoir, entre autres, créèrent des motifs de la vie quotidienne, des scènes urbaines et pittoresques capturées dans une lumière claire et naturelle.
L’impressionnisme est à percevoir comme une réaction à la peinture de l’académisme : on ne cherche pas à mettre en avant le contenu à travers une constellation figurative structurée par des règles strictes, mais plutôt à mettre en valeur l’objet, la manière qu’il a d’apparaître à un moment donné, souvent fortuit. La réalité est perçue dans toute sa diversité de couleurs dans un éclairage naturel. La peinture sur le motif se substitue à la peinture en atelier.
Le nouveau maniement de la couleur s’accompagne d’un éclaircissement de la palette et de la disparition des contours fermes. Les couleurs ne sont plus mélangées à plusieurs reprises sur la palette, mais sont disposées directement sur la toile les unes à côté des autres, de telle manière que l’impression finale n’apparaisse que dans les yeux de l’observateur, prenant un certain recul. Dans le pointillisme (avec des peintres tels que Georges Seurat ou Paul Signac), ce principe a été poussé à l’extrême.
En dehors de la France, on retrouve l’impressionnisme dans les œuvres de peintres tels que Max Slevogt, Max Liebermann ou Lovis Corinth en Allemagne, ou bien James A. M. Whistler aux États-Unis.
Dans la sculpture, l’impressionnisme ne s’exprima qu’occasionnellement. Dans les œuvres de Auguste Rodin, considéré comme son représentant majeur, se montre l’évaporation des surfaces, à travers laquelle le jeu de lumière et d’ombres est assimilé au message artistique. Degas et Renoir créèrent également des sculptures.