Stick umbrella "Night Café" (Café de nuit)
Stick umbrella "Night Café" (Café de nuit)
Brève info
automatique | longueur 90 cm | Ø 100 cm
Description détaillée
Stick umbrella "Night Café" (Café de nuit)
Stick umbrella (parapluie en forme de bâton) d'après le tableau de van Gogh "Night Café", qu'il a peint à Arles/France en 1888. Il s'agit de la première de ses nombreuses œuvres représentant un ciel étoilé. La peinture à l'huile est exposée au musée Kröller-Müller, à Otterlo (Pays-Bas).
Parapluie à manche automatique avec toile en polyester et armature en fibre de verre. Tige en acier, poignée en plastique noir. Longueur 90 cm. Diamètre 100 cm.
Producteur : ars mundi Edition Max Büchner GmbH, Bödekerstraße 13, 30161 Hanovre, Allemagne E-mail : info@arsmundi.de
Evaluations client
Die Bestellung war sehr schnell und mit dem Artikel bin ich auch sehr zrfrieden.
Wie immer bei Arsmundi, mfg IH
Alles bestens.
... alles hat prima geklappt, schnelle Lieferung .... und auf den ersten Regen musste man auch nicht lange warten ...der Schirm hat mich gut gelaunt durch den Regen gebracht ... MTK
Schneller Versand, sicher verpackt - gerne jederzeit wieder
Den Schirm hatte ich schon mal. Meine Schwiegermutter hat sich im Auto darauf gesetzt und ihn verbogen. Als ich ihn im Katalog wieder entdeckt habe, war klar, dass ich mir das Nachfolgemodell 'geleistet' habe. Auf den Rücksitz im Auto kommt allerdings nur mehr ein Billig-Schirm von aldi oder lidl!
sehr hübsch
schnelle und gute Lieferung. Schirm wie beschrieben,bin sehr zufrieden.

A propos Vincent van Gogh
1853-1890 - précurseur de l’expressionisme
"Soit cet homme devient fou, soit il nous laisse tous loin derrière lui," prédisait déjà Camille Pissarro à propos de Vincent van Gogh, fils de pasteur né en 1853. Le hollandais devint en effet un pionnier du modernisme, dont les lignes galbées et couleurs lumineuses ont initié l’expressionnisme. Alors que van Gogh ne gagnait guère de quoi se permettre de la peinture et des toiles de son vivant et dépendait de l’aide financière de son frère Theo, ses œuvres se vendent aujourd’hui régulièrement pour des dizaines de millions d’euros dans des ventes aux enchères spectaculaires.
Van Gogh (1853-1890) vient d’une famille de pasteurs protestante de Groot-Zundert dans le Brabant. Ses premiers contacts avec l’art se firent grâce à un de ses oncles, marchand d’art. Dans les premiers temps, van Gogh travaillait dans des branches de la galerie Goupil & Cie à la Haye, Londres et Paris, mais aussi en tant que professeur à domicile en Angleterre et comme pasteur méthodiste. C’est en tant que pasteur dans la région minière de Borinage qu’il peignit pour la première fois. Par la suite et pendant quelques mois, il assiste à des cours à l’académie de Bruxelles, mais se forme surtout en tant qu’autodidacte.
Ses premières peintures à l’huile représentent de pauvres fermiers et travailleurs. Ce sont des représentations très sombres et peintes avec des lignes simples et larges. Après un passage par Anvers, où il resta pendant trois mois et découvrit la simplicité et l’élégance des estampes japonaises colorées, il arriva ensuite à Paris. Il y trouva le soleil et les couleurs claires. Il étudia les impressionnistes, les pointillistes et les jeunes symbolistes, il peignit des paysages urbains, ruraux et des portraits.
À la recherche de plus de lumière et de liberté, il partit à Arles en 1888, dans le sud de la France, où son ami Paul Gauguin le suivit. Van Gogh avait pour projet de former un village d’artistes et d’inviter tous ses amis artistes à venir vivre et travailler avec lui, mais son plan échoua. Après une altercation dramatique avec Gauguin durant laquelle van Gogh se blessa lui-même à l’oreille, il dût à plusieurs reprises être admis à l’hôpital pour de longs séjours à cause de dépressions mentales. Ces crises s’accentuèrent avec le temps et conduisirent finalement à son suicide.
Van Gogh peignit ses peintures les plus célèbres de son temps passé à Arles. On y retrouve toute la force lumineuse du soleil; les champs, les arbres et les nuages expriment de façon saisissante la violence de la nature. Pour les observateurs que nous sommes aujourd’hui, il est difficile de s’imaginer quelle force devait être nécessaire pour créer des chefs-d’œuvre si joyeux dans un tel état de détresse psychologique. Cela reste le secret de van Gogh, et jusqu’à aujourd’hui celui de son œuvre tardive.
L’impressionnisme, courant artistique de la peinture française apparu vers 1870, tient son nom du tableau de Claude Monet ‘Impression, Soleil levant’. Après le rejet initial que cette peinture reçut, elle fit une avancée triomphante.
Des peintres tels que Claude Monet, Edgar Degas, Édouard Manet et Auguste Renoir, entre autres, créèrent des motifs de la vie quotidienne, des scènes urbaines et pittoresques capturées dans une lumière claire et naturelle.
L’impressionnisme est à percevoir comme une réaction à la peinture de l’académisme : on ne cherche pas à mettre en avant le contenu à travers une constellation figurative structurée par des règles strictes, mais plutôt à mettre en valeur l’objet, la manière qu’il a d’apparaître à un moment donné, souvent fortuit. La réalité est perçue dans toute sa diversité de couleurs dans un éclairage naturel. La peinture sur le motif se substitue à la peinture en atelier.
Le nouveau maniement de la couleur s’accompagne d’un éclaircissement de la palette et de la disparition des contours fermes. Les couleurs ne sont plus mélangées à plusieurs reprises sur la palette, mais sont disposées directement sur la toile les unes à côté des autres, de telle manière que l’impression finale n’apparaisse que dans les yeux de l’observateur, prenant un certain recul. Dans le pointillisme (avec des peintres tels que Georges Seurat ou Paul Signac), ce principe a été poussé à l’extrême.
En dehors de la France, on retrouve l’impressionnisme dans les œuvres de peintres tels que Max Slevogt, Max Liebermann ou Lovis Corinth en Allemagne, ou bien James A. M. Whistler aux États-Unis.
Dans la sculpture, l’impressionnisme ne s’exprima qu’occasionnellement. Dans les œuvres de Auguste Rodin, considéré comme son représentant majeur, se montre l’évaporation des surfaces, à travers laquelle le jeu de lumière et d’ombres est assimilé au message artistique. Degas et Renoir créèrent également des sculptures.